Le placebo est le désir de guérir que l’on actionne en soi. Tout soin thérapeutique est accompagné d’une part de placebo évalué entre 1 à 30% (par ex : si notre entente est congruente, cela peut participer au placebo). Le nocebo, à l’inverse, est actionné par des inconforts qui diminuent votre motivation et votre foi à gagner votre mieux-être. Je mets tout en œuvre pour que votre attitude ‘placebo’ soit active.

Jamais ! Le neurofeedback donne simplement un retour d’information au cerveau mais il ne force pas le changement. C’est l’organe ‘cerveau’ qui prend la décision de se modeler différemment. En revanche, il se peut qu’un inconfort se travaillant (la qualité du sommeil par exemple), il soit un peu chahuté, le temps de trouver son homéostasie.

Chaque séance coûte 50 euros. Un reçu fiscal vous est remis. Les personnes en difficulté matérielle peuvent me le signaler, je réserve jusqu’à 4 séances par semaine à cette intention.

Dès qu’on a des neurones ! J’ai partagé le plaisir avec des parents de voir évoluer leur enfant cérébro-lésé, âgé de quelques mois.

Entre 1 à 10 séances, les progrès se manifestent très souvent dans 80% des situations.

Ne diminuez pas votre posologie sans avis médical. A un moment, vous pourriez vous sentir dans un état différent. C’est le signe qu’un ajustement doit être fait. Vous consulterez votre médecin à ce moment pour en discuter avec lui…

Bien sûr et  souvent le contact passe bien. Je fais l’effort de leur expliquer le fonctionnement du neurofeedback avec des mots et des images accessibles. Je mets l’accent non pas sur l’effet ‘réparateur d’échec’ mais sur l’effet ‘entraineur de champion’ du neurofeedback. Cela produit déjà une amélioration de l’estime de soi.

Très variable. Aussi, je n’accepte plus de travailler sans faire ‘alliance’ avec le psychiatre.

Oui et sans réserve. Je regrette d’ailleurs de ne pas recevoir beaucoup plus d’enfants, adolescents, adultes autistes… Faites passer le message…

Oui par la FDA (Food Drug Administration – USA). En France, l’équivalent HAS (Haute Autorité de la Santé) ne reconnait pas le neurofeedback. Et en Belgique… c’est la Belgique et ses 9 ministres… donc on oublie d’espérer…

Oui, parfois des assurances admettent le remboursement partiel avec des plafonds variables. C’est rarissime.

Plus nouveau que l’acupuncture 😉 déjà ! Ensuite, très peu de praticiens sont réellement actifs en Belgique, donc la « caisse de résonance » n’est pas très puissante. Et personnellement, je reçois 5 à 6 jours par semaine ce qui me laisse peu d’énergie pour mettre « l’image » du neurofeedback en avant, à part un site web le plus explicite possible.

Ce n’est pas un traitement médical puisqu’il n’y a aucunement nécessité d’un diagnostic. Ce qui explique que je ne sois ni médecin, ni psychologue mais modeste et efficace praticien de neurofeedback…

Téléphone, sms, mail, rdv… et j’y répondrai rapidement.