Bon, entrons dans le « cœur du réacteur » : notre logiciel embarquant un algorithme de Gabor sur le théorème de Fourier s’intéresse uniquement à l’état variable de votre propre activité, entre deux extrêmes. Une illustration ? Une chaudière et un thermostat : si la température part en « vrille » trop haut ou trop bas, le thermostat envoie un signal ‘stop’. Ce signal est la résultante d’un calcul entre l’autonomie individuelle et l’environnement externe. Au fond, le neurofeedback fait la même chose : il surveille les excès de « température » plus scientifiquement nommée ‘perturbation neuronale’. Et ce n’est pas fini ! Cette perturbation neuronale est calculée sur 4 axes : sa durée, son intensité, sa fréquence, son changement et sur 60 fréquences découpées en 10 cibles, 256x/seconde !! Le neurofeedback dynamique est le SEUL SYSTEME offrant une telle vitesse et une telle précision. C’est du « laser » !
Le thermostat de mon exemple, vous l’avez compris, accomplit un rôle d’inhibiteur : si la température descend ou monte trop, il actionne le frein. Le neurofeedback dynamique renforce l’activité neuronale inhibitrice.
Retenez que le neurofeedback dynamique incite l’activité cérébrale à produire une rétroaction pour créer des nouvelles connexions synaptiques pertinentes. Cela fait, le cerveau pourra diminuer les points faibles et renforcer les points forts.